7 juillet 1817 | Madame de Souza à Madame d’Albany | Miss Mercy Elphinstone

Toutes les correspondances de l'année
Contenu de la correspondance

" C'était une " demoiselle " joignant au plus noble caractère l'esprit le plus sage et le plus éclairé. "

* Madame de Souza et sa famille (baron André de Maricourt / Emile-Paul frères / p.309)* lettre intégrale (le portefeuille de Madame d'Albany, par Léon-G Pélissier)

Toutes les correspondances de l'année
Contenu de la correspondance

" Je ne sais trop que vous dire au sujet de ce personnage ; il est certain qu'il n'est sur aucune liste, qu'il compte encore dans l'armée, qu'il a un congé qui expire au mois d'octobre. Par conséquent, il est bien reconnu comme Français et peut en réclamer les droits. Cependant, il me semble qu'il serait peu convenable que vous le présentiez au Prince Régent après la manière dont il s'est conduit en Angleterre, et je vous avoue même que je n'ai fait aucune réponse à la lettre qu'il m'a écrite. Vous tâcherez donc d'esquiver la présentation s'il venait à vous la demander. Vous avez un très bon prétexte, puisque M de Flahaut ne vous a pas porté de lettre de moi…"
 
* Flahaut (Françoise de Bernardy / Perrin /p.191)

Toutes les correspondances de l'année
Contenu de la correspondance

Lettre d'Hortense de Beauharnais à Lavalette , et copie à Eugène de Beauharnais
21 avril 1807, La Haye
Je saisis toutes les occasions, mon cher Lavalette, pour vous écrire un peu à mon aise. Vous saurez pour nouvelle qu'il n'y a rien de nouveau ici, si ce n'est que nous comptons aller bientôt au Loo et qu'il n'y a ni lits, ni chaises, ni cuisine.
Le Roi a été faire une petite tournée au Helder ; il revient vendredi. Nous sommes en apparence beaucoup mieux ensemble. Il resta à présent tous les soirs, et les personnes qui auraient craint de se compromettre en venant me voir pendant ce temps abondent à présent. L'Empereur, qui avait appris la manière dont nous étions, a écrit une lettre terrible au Roi ; il lui dit qu'il sait qu'il me rend malheureuse, qu'il lui souhaiterait une femme comme il en connaît à Paris et qu'au lieu de cela il a une femme vertueuse mais qu'il ne sait pas apprécier. Vous voyez, mon cher Lavalette, que la manière dont l'Empereur parle de moi et l'opinion qu'il a la bonté d'en avoir est bien faite pour me consoler et pour me donner la force de tout supporter.
Ne parlez jamais de tout cela à l'Impératrice, car il vaut mieux qu'on ignore tout cela, et, comme cela lui ferait du chagrin, elle le dirait. L'Empereur gronde aussi pour l'Ordre de Hollande donné à trop de monde et établi sans son consentement. Je ne sais pas à qui en France il permettra de le porter, mais il n'apparaît guère disposé à l'accorder à tous. La Hollande est un foyer d'intrigues ; heureusement que je suis nulle dans toutes et que je ne mêle de rien, car j'en verrais de belles. D'abord, comme on aime à tout savoir, tout le monde veut instruire et c'est toujours aux dépens les uns des autres.

Un Français part pour l'armée ? Aussitôt tout le monde chante victoire. L'illustre Sénégra, au teint pâle et livide, tient le sceptre de la police, des bêtises et des vilénies. Tout le monde le craint, le déteste et le ménage. Dans le Palais surtout, il faut faire attention comme l'on crache, l'on tousse, ou l'on se mouche ; moi seulement, avec mon air habituel d'indifférence, j'ai l'air de ne rien voir. Je reçois tout le monde également bien, excepté ceux qui me manqueraient ; je l'ai souffert longtemps sans rien dire mais, à présent, je ne souffrirai plus.
Le Roi s'occupe beaucoup de ses affaires, mais je crois qu'il manque beaucoup de stabilité dans ce qu'il fait. Je crois que, pour un roi, il faut mieux faire mal mais y tenir quand une fois on l'a fait. S'il voit tout le monde d'accord pour vanter un homme et que lui-même trouve qu'il le mérite, au lieu de lui accorder une grâce, il lui en accordera six : tout cela fait des jalousies et étonne même la personne qui les reçoit.
Vous voyez, mon cher Lavalette, que je vous parle bien à coeur ouvert. Je juge dans mon petit coin tout ce qui se fait, mais je ne le dis pas ; cependant, quelquefois, je suis tout fière de voir qu'une chose qui me choquait, sans me rendre compte pourquoi, l'Empereur le blâmait aussi ; cependant cela m'étonne moins en pensant à mon esprit patriotique qui me fait penser que tout doit céder à la France et que ce sera toujours l'intérêt de qui y cédera. Voilà, je crois, un beau cours de politique ; je ne me rappelle pas d'en avoir tant fait ; il est vrai que c'est bien ce qui m'occupe le moins.
Je sais qu'Eugène mène bien sa barque et cela me rend toujours heureuse de penser qu'il satisfasse l'Empereur (sic) ; c'est au moins la consolation qui nous est due ; je voulais lui écrire aujourd'hui mais je trouve qu'il est tard et que vous pourriez bien lui envoyer cette lettre. Ma politique le fera rire et ma confiance en vous ne le surprendra pas, car nous ne faisons toujours qu'un pour l'amitié que nous vous portons. J'embrasse Emilie et votre petite-fille.
Dites-moi donc pourquoi on ne joue plus la comédie à Malmaison. Quelle est la raison qui a fait rompre ce projet ?
Hortense
P.S. Ce mardi 21 avril. J'ai eu un plaisir extrême hier à entendre la Grassini dans Cléopâtre : comme elle est supérieure sur le théâtre ! C'est la première chose de bonne que j'ai entendue depuis que j'ai quitté Paris.

Toutes les correspondances de l'année
Contenu de la correspondance

Lettre d'Hortense de Beauharnais à son frère Eugène
12 novembre 1817, Augsbourg
Que tu es aimable, mon cher Eugène, tu n'oublies rien : le portrait de ta femme me fait un plaisir extrême. Depuis que nous sommes séparés je n'ai plus de jour de fête, mais je m'en veux d'oublier le jour où nous avions tant de plaisir à nous donner un bouquet. Peut-être chercherai-je aussi à ne pas me rappeler des impressions si douces et qui sont si loin de moi, mais je te remercie toujours de ne pas m'oublier. Ce jour-ci sera moins pénible pour moi, puisque je penserai que tu es fêté par des personnes qui t'aiment et qui te sont chères et, puisque je ne suis pas assez heureuse pour être près de toi, je penserai à ton bonheur pour diminuer mes regrets ; embrasse ta femme bien tendrement pour moi et crois, mon cher Eugène, que rien au monde ne diminuera le tendre attachement que je t'ai voué pour la vie.
Hortense
Lettre de Napoléon-Louis jointe
Mon cher Nonnonque, je te souhaite une bonne fête. Je voudrais bien te voir ainsi que Tata. Je voulais t'envoyer mes joujoux mais maman ne veut pas. Elle dit que ce sera quand petit cousin sera né. Nous jouerons avec lui ainsi que petit frère. Nous t'embrassons tous les deux ainsi que Tata
Napoléon-Louis

Toutes les correspondances de l'année
Contenu de la correspondance

La Comtesse d'Albany Lettres inédites de Madame de Souza (et d'autres...)(Le Portefeuille de la comtesse d'Albany : 1806-1824, par Léon-G. Pélissier)

 Les annotations (en italique) sont de Léon-G. Pélissier ; Les passages [entre crochets] sont dans Saint-René Taillandier ; "Néné" est le surnom que Mme de Souza a donné à Charles de Flahaut, son fils ; les sujets concernant Charles de Flahaut sont reproduits en rouge ; l'orthographe ancienne est respectée.

 lettre de Madame de Souza à la comtesse d'AlbanyParis, le 21 décembre 1817

 
[Nous recevons à l'instant votre lettre du 5 décembre, ma très chère amie, et je suis charmée que vous soyez contente de notre Camoëns. A mon avie, la plus belle gravure, comme travail, est celle d'un nommé Toschi, de Parme. (D'abord : Milanois, effacé ensuite.)
Si vous pouviez imaginer ce qu'il en a coûté à mon mari de peines et d'argent depuis cinq ans, vous estimeriez plus encore cete entreprise. Que de fois il est resté cinq, six et sept heures chez M Didot. Car, ni l'imprimeur ni le prot ne connaissaient la langue, et l'on imprimoit l'ouvrage comme un tableau de mozaïque. Enfin j'ai cru souvent que la santé de M de Souza y succomberoit. Nous ne nous vantons point de ce qu'il a coûté. Ce seroit une folie sérieuse aux yeux des hommes froids, qui ne sentent point l'extrême satisfaction qu'une âme noble et généreuse trouve à élever un monument à élever à celui qui a chanté et illustré les tems de gloire de son pays. Pour moi, je n'ai eu d'autre mérite que de promettre à mon mari de diminuer toutes les dépenses de la maison le plus possible, afin que son fils ne trouvât point cette somme de moins dans sa fortune et qu'elle fût prise tout entière dans nos ecconomies si nous vivons quelques années.]
Je ne puis pas comprendre, ma chère amie, ce que vous voulez dire par mes confidences à L.H. (Souligné dans l'original. Ces initiales désignent Lady Holland), et je vais y répondre d'une manière tryomphante une fois pour toutes : c'est qu'il est positif que le hasard a fait que ni avant le voyage où elle vous a vue à Florence, ni dans le dernier qu'elle a fait à Paris, je ne l'ai vüe seule une minute. Vous voyés, d'après cela, que je n'ai pu lui faire aucune espèce de confidence d'aucun genre. Je me suis même si peu livrée à causer que je sais qu'elle a dit à un de mes amis qu'elle ne comprenoit pas ma réputation d'esprit ou pourquoi je me plaisois à m'éteindre, comme je le faisois. Enfin (et ceci pour vous seule, parce que jamais il ne sortira un mot de ma bouche, contre elle, d'abord à cause de son mari que j'aimes beaucoup, et puis, à cause de leurs bontés pour Charles), enfin je ne me crois pas du tout dans ses bonnes grâces, et cela depuis vingt ans ; jugés si j'aurais été disposée à lui faire des confidences. Mais vous qui m'avés si souvent écrit sur elle ; vous qui me mandiez qu'elle était menteuse, intrigante, immorale, enfin tout ce qu'il y a de mauvois et de dangereux au monde, comment avez-vous pu croire que je me livrerois à des confidences qui, dites-vous encore aujourd'huy, m'ont fait le plus grand tort dans votre esprit ? Ne pouviés-vous pas penser qu'elle me fesoit parler pour vous impatienter ? Ne pouviez-vous au moins douter, ce qui est déjà assez fort en amitié ; je vous assure que si quelqu'un osoit venir me dire du mal de vous, je n'en croiroit pas un mot, et que si même je vous avois vu tomber dans une erreur, je soutiendrois mordicus que cela n'est pas vrai à ceux même qui l'aurois vu comme moi et oseroient en médire. Et tenez, un homme de beaucoup d'esprit a bien voulu me donner une fois un éloge qui m'a été tellement au coeur que je ne l'ai jamais oublié. Il me disait : "Je sais qu'on est chés vous en sûreté, et que vous ne livrés jamais un ami, ni par un mot, ni même par un sourire." Si l'émotion trop vive des passions d'alors n'avoit pas entrainné votre excellent coeur avant que ces prétendues confidences m'eussent fait tort dans votre esprit, vous vous seriez dit : Sachons d'abord si elle a fait des confidences. Hé bien ! je vous le repette, je ne l'ai pas vue SEULE une minute de ma vie. Le hasard a fait cela, mais je lui rends grâce puisque il doit si bien vous détromper. Quand nous nous reverrons, nous causerons, et vous m'apprendrez, j'espère, qu'elles ont été ces étranges confidences.
Charles est très heureux, mais fort triste dans ce moment. Sa femme, qui étoit grosse de trois mois, a été si saisie de la mort de la princesse Charlotte, qu'elle en a fait une fausse couche. (Cette nouvelle officielle montre que miss Knight se trompait (Voir lettre suivante) en ne croyant pas cette triste nouvelle exacte.) C'est un grand malheur que la première grossesse termine comme cela, mais je préfère encore que cet accident soit la suite d'un saisissement que si c'étoit foiblesse de santé.
Je n'ai pas vu Madame votre soeur depuis longtemps, parce que je souffre de mon côté comme il m'arrive tous les hivers. Avec l'italien tachez de lire le dernier paragraphe de l'avertissement du Camoëns : je trouves qu'il est bien honorable pour mon mari. Adieu ma bonne, ma très chère amie, je serai bien heureuse quand l'heure de midi ne se passera pas sans que je vous voye arriver. Mandez-moi, je vous prie, ce que le grand-duc dira de notre Camoëns. Si vous ne venés pas ici, nous irons, mon mari et moi avec Charles, vous voir.
Cette pauvre maréchale Ney est bien malheureuse avec quatre garçons. Vous vous trompez fort si vous la croyez une des passions de Charles. Il n'y a jamais eu entre eux qu'une pure et bonne amitié. Cela, vous pouvez en jurer. Mille complimens à M Fabre. Que dit-il de nos gravures ?
[Gérard vient de faire un portrait de Mme de Staël qui est vraiment admirable. C'est elle sans être trop flattée, et cependant sans aucun des défauts de sa figure, mais c'est toute son expression. Vous le verrés ici et vous serez étonnée. Adieu encore, ma bien chère amie, croyés à l'attachement bien profond, bien sincère de votre
ADELE

Toutes les correspondances de l'année
Contenu de la correspondance

La Comtesse d'Albany Lettres inédites de Madame de Souza (et d'autres...)(Le Portefeuille de la comtesse d'Albany : 1806-1824, par Léon-G. Pélissier)

 Les annotations (en italique) sont de Léon-G. Pélissier ; Les passages [entre crochets] sont dans Saint-René Taillandier ; "Néné" est le surnom que Mme de Souza a donné à Charles de Flahaut, son fils ; les sujets concernant Charles de Flahaut sont reproduits en rouge ; l'orthographe ancienne est respectée.

 lettre de Madame de Souza à la comtesse d'AlbanyParis, le 23 octobre 1817

 
[Je suis furieuse, ma très chère amie, il y a plus de six semaines que je vous ai écrit en vous envoyant un exemplaire de notre édition de Camoëns. M de Souza a remis ma lettre et le volume dans une caisse adressée au comte Funschal, que le chargé d'affaires de Portugal ici a promis de lui faire passer. Je croyais le tout arrivé à sa destination, lorsqu'hier j'ai appris que ce Monsieur avoit encore cette caisse chez lui, en attendant, avec une patience toute portugaise, qu'il eût à envoyer un courrier en Italie. Croyez bien, ma très chère amie, que vous avez été une des premières personnes à qui j'ai pensé, ainsi que mon mari, pour envoyer cet ouvrage qui a très bien réussi, et qui, véritablement, est le plus bel ouvrage qui soit sorti des presses françaises. Il n'y en aura aucun exemplaire de vendu. C'est une espèce de monument que mon mari a voulu élever à sa patrie et au poète qui a si bien célébré les tems de la gloire portugaise. Il n'a fait tirer que deux cents exemplaires (et, entre nous, cela lui coûte plus de 60.000 francs) il compte en donner à toutes les bibliothèques et académies des deux mondes, et en offrir à ses plus chers amis ou aux particuliers qui auront de belles bibliothèques. A tous ces titres, vous deviez avoir le premier exemplaire, et, grâces à ce Monsieur, malgré tous mes soins, les voilà encore à Paris : et Dieu çait combien ils y resteront ! Enfin je suis furieuse, d'autant que j'espère que M Fabre sera content des gravures. Je vous demande de lire le dernier paragraphe de l'avertissement et la vie, qui est de mon mari ; avec l'italien, ce vous sera facile.
M de Souza en a envoyé un exemplaire au roi et aux grandes bibliothèques ici. Sa Majesté l'a accepté et fort admiré. Pendant trois jours il l'a montré à tous les courtisans, avouant que rien d'aussi beau n'étoit sorti des presses françaises. Voilà, j'espère, un succès ! et d'autant plus flatteur que MM les courtisans ne s'y attendoient pas.]
Après, ma très chère amie, que vous aurez entendu toutes mes colères, je veux vous parler de Néné. Il s'est rendu très populaire en Ecosse, et il compte y passer l'hiver, ce qui sera très bien fait. Sa femme et lui me paraissent fort heureux. Lord Keith n'annonce encore aucun retour vers sa fille, mais tous ses parens et amis voyent et aiment les nouveaux mariés ; c'est déjà quelque chose. Adieu, ma très chère amie. Croyez toujours à mon plus tendre attachement. Revenez donc nous voir. Votre soeur (Mme d'Arberg) mène une vie bien triste ici. M et Mme de Lobeau sont dans une terre en Belgique, et l'on ne pense guère à rappeller ceux qui sont inscrits sur cette seconde liste, qui a été faite bien légèrement chez M de Talleyrand. certes, M de Lobeau, qui n'a rejoint Napoléon qu'à Paris et après le départ du roi, n'est pas plus coupable que cent mille autres, (Le général Lobau avait été commandant de la première division militaire et pair de France pendant les Cent jours ; il avait glorieusement résisté à Waterloo avec 6000 hommes aux 30000 de Bulow, et avait été fait prisonnier et emmené en Angleterre. C'étaient bien des titres à être compris dans l'ordonnance du 24 juillet. Il ne fut autorisé à rentrer en France qu'en 1818 et fut mis en non-activité le 1er janvier 1819.) dont plusieurs même sont employés actuellement. Enfin si vous veniez ici, peut-être le feriés vous effacer de cette terrible liste et rendriés vous cette pauvre petite jeune femme à sa mère et à son pays. Elle est grosse de son troisième enfant, et comme Paris et Bruxelles lui sont également déffendus, elle sera encore obligée d'accoucher à la campagne avec bien peu de secours si elle étoit malade. Je ne sais pas si c'est que je deviens tout à fait vieille, mais les pauvres jeunes femmes m'intéressent beaucoup plus que leurs maris, et même les charmantes, comme Mme votre nièce, me touchent plus que les laides et maussades.
[Adieu encore, ma très chère amie, vous connoissés mon ancien et parfait attachement pour vous. Que je serai contente de vous revoir et de vous avoir encore à notre petit dîner ! Mille complimens à M Fabre.]

Toutes les correspondances de l'année
Contenu de la correspondance

CHAN 565 AP 9
Correspondance familiale
Lettres de Madame de Souza à son fils Charles de Flahaut
Dossier 4
Trente-deux lettres du 1er janvier au 15 novembre 1817
avec un post-scriptum de Le Duc (p. 61) et son témoignage sur
l’exécution des prisonniers anglais
durant la campagne d’Egypte (p. 62)

Toutes les correspondances de l'année
Contenu de la correspondance

CHAN 565 AP 9
Correspondance familiale
Lettres de Monsieur de Souza à son beau-fils Charles de Flahaut
Dossier 13
Quatre lettres de José de Souza à Charles de Flahaut, son beau-fils, de 1816 à 1819

Toutes les correspondances de l'année
Contenu de la correspondance

" Vous ne pouvez vous faire aucune idée des persécutions, des calomnies que M d'Osmond a employées contre Charles. M d'Osmond s'était mis en tête d'empêcher ce mariage, et il est parti une fois de chez lui pour aller chez lord Keith lui dire mille horreurs, mille atroces calomnies sur Charles, et Lord Keith les a dites immédiatement à sa fille…"
 
* Flahaut (Françoise de Bernardy / Perrin / p.189)